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On reparle de la nouvelle de Laurent Queyssi, "Nous finirons bien par en venir à bout" avec Cornwall sur Mythologica :

"Vous l’aurez compris, il s’agit là d’une nouvelle pleine d’humour et de dérision se jouant des clichés zombiesques. Ça fonctionne très bien et c’est un très bon moyen pour faire connaissance avec la plume de Laurent Queyssi et de se laisser convaincre par d’autres de ses ouvrages…" 

Gromovar a lu le roman tiré de la novella L'une rêve, l'autre pas de Nancy Kress.

"Il y aurait encore beaucoup à dire. C’est aussi un roman sur le choix, sur le libre arbitre, sur les changements qu’amène le temps, en mieux comme en pire. Il y a aussi des personnages dont je n’ai pas parlé et qui auraient eu, pourtant, des choses à dire ; ceux qui sont dans la fuite, ceux qui pratiquent une neutralité absolue, et les autres encore. "Beggars in Spain" est un texte dense et intelligent qui donne matière à maintes réflexions."

Voici une nouvelle chronique pour la nouvelle de Laurent Queyssi, "Nous finirons bien par en venir à bout", signée Vinze :

"Vous vous en doutez, par le pitch (le synopsis, pas la brioche chimique), cette nouvelle est humoristique et joue des clichés de manière drolatique. À recommander à tous les amateurs de zombie qui pensent avoir tout vu et tout lu sur le sujet."

Laure, sur son blog, a lu la nouvelle de Laurent Queyssi, Nous finirons bien par en venir à bout :

"Apparemment devenir zombie est traumatisant. C’est en tous cas ce que nous confirme Laurent Queyssi dans cette nouvelle. Longue d’une dizaine de pages, je me suis régalée à sa lecture. C’est drôle, et on découvre la menace zombie sous un nouveau jour. (...) Si vous ne connaissez pas sa plume, Nous finirons bien par en venir à bout… est un bon moyen de la découvrir. Un poil loufoques, on se plonge sans état d’âme dans les mésaventures de ce malheureux zombie." 

L'anthologie dirigée par Laurent Gidon, Contrepoint, a conquis un nouveau lecteur en la personne de Cornwall :

"En conclusion, le bilan de cette anthologie s’avère de mon point e vue assez positif et c’est assez surprenant de lire une nouvelle en sachant dès le départ qu’il y aura absence de conflit. Il existe une vrai attente dans la manière dont l’auteur va mener son récit."

Saturnales est une nouvelle de Maïa Mazaurette à l'origine parue dans l'anthologie 69. Monochrome, sur son blog, nous dit ce qu'elle en a pensé :

"Dans cette oeuvre, on retrouve des thèmes qui sont chers à Maïa, notamment l'hygiénisation à outrance des rapports sexuels et l'habitude des hommes de faire porter le blâme aux femmes pour leurs propres pulsions. (...) J'ai pris du plaisir à dévorer cette nouvelle, et l'ironie de certains propos m'a même. arraché quelques éclats de rire. En ce qui me concerne, c'est donc une histoire efficace, un peu à l'image de son auteure."

Vinze a lu L'une rêve, l'autre pas de Nancy Kress et le chronique avec beaucoup d'humour sur son blog :

"Le texte tire sa force dans sa manière de présenter ces concepts sans tirer de conclusion, chacun pourra en tirer (des conclusions) et Dieu reconnaîtra les siennes. Et surtout un traitement qui évite toujours de tomber dans la caricature (pas comme moi donc) en restant nuancé. Une lecture rapide mais qui laisse des souvenirs durables et qui n’usurpe pas tous ses prix (...)."

Laurinda du blog Un papillon dans la lune a lu la nouvelle de Robert Silverberg, Hanosz Prime s'en va sur terre :

"Du coup, je ne sais toujours pas qu'en penser. J'ai clairement été déçue par la nouvelle du point de vue de l'intrigue inexistante. Techniquement, il n'y a même pas de vraie fin, j'ai été surprise que ça s'arrête. D'un autre côté, le narrateur amène du piment, de l'humour voire de l'ironie, c'est assez frais, et représentatif, bien que caricatural, de ce qu'on pourrait avoir envie d'expliquer aux gens sur la SF."

L'anthologie Utopiales 12 est cité par Jean-Claude Vantroyen dans Le Soir :

"(...) ça nous donne une anthologie indispensable pour voyager à prix cassé dans des mondes nouveaux et divers en compagnie de personnages passionnants. Bonne route." 

Comme un automate dément reprogrammé à la mi-temps de Laurent Queyssi continue de faire parler de lui, la preuve sur le blog de Laure :

"(...) Comme un automate dément reprogrammé à la mi-temps est un excellent recueil aux textes hétérogènes, aux multiples références culturelles (geeks de préférence) et aux thématiques classiques, mais bien traitées."