Connexion

Actualités

Et de trois pour Nancy Kress !

Trois nouvelles chroniques pour L'une rêve, l'autre pas de Nancy Kress* :

 

 

Vert sur son blog :

"Ce que j’ai aimé dans L’une rêve, l’autre pas, outre la pertinence des réflexions (même le système de pensée de Kenzo Yagai est intéressant), c’est l’optimisme du texte. Leisha est une héroïne plutôt positive par nature, et en dépit des drames qui ponctuent l’intrigue, cela fait plaisir de referme le livre sur une note d’espoir, pas non plus complètement bisounours mais encourageante. 

Cela en fait un texte touchant, qui à une époque assez morose, fait un bien fou." 

 

Loïc sur son blog :

"Ainsi, c'est donc une belle et bonne nouvelle que nous propose Nancy Kress avec L'une rêve, l'autre pas. Le récit est adroitement rythmé, les dialogues sont presque toujours à propos et la thèse est plus qu'intéressante. Simplement, on ne peut que regretter que l'auteur n'ait pas approfondi l'alternative qu'elle ne fait qu'effleurer en fin de récit. Quoi qu'il en soit, Nancy Kress est clairement une figure à suivre dans le « petit monde » de la SF." 

 

Soleil Vert sur son blog : 

"Nancy Kress raconte tout cela avec une maîtrise, une sensibilité et une finesse psychologique dignes de Ursula Le Guin et Kate Wilhelm. Mais on sent que le sujet n’est pas épuisé. Quelle entreprise ne souhaiterait disposer de travailleurs disponibles 24h sur 24 ? Quelle société en résulterait ? Et quels mystères habitent ces esprits sans rêve qui brillent d’une flamme plus vive et cependant inépuisable ?" 

 

* le titre est épuisé chez nous provisoirement mais toujours disponible en librairie !

Premier avis pour Miroir de porcelaine

Première chronique pour la nouvelle de Mélanie Fazi, "Miroir de porcelaine", signée Lullaby sur son blog :

 

 "Un bien beau texte, très mélancolique, dont je retiendrai surtout l’image des deux automates de porcelaine, à la fois vecteurs et victimes, si beaux et innocents du drame qui les entoure. Un texte qui a reçu le prix Masterton en 2010. Quand je vous dis que Mélanie Fazi est une novelliste de talent." 

On reparle de Saturnales

Un nouvel avis sur la nouvelle de Maïa Mazaurette, "Saturnales" par Aude sur son blog : 

 

"L’histoire est originale, bien trouvée et se lit évidemment très rapidement. En l’espace de 10 pages un univers est décrit, un contexte est posé, des personnages sont dévoilés et tout cela pourrait presque amener à la réflexion !" 

Nouvel avis pour Permafrost

Nouvelle chronique pour la nouvelle de Stéphane Beauverger, "Permafrost", par Dawn sur son blog :

 

"Cette nouvelle est assez courte mais elle véhicule des messages, une réflexion importante qui pallie le format court. Permafrost est une nouvelle un peu dure mais qu’on retient, qui marque." 

Nouvel avis pour Le Dernier Chant d'Orphée

On reparle du Dernier Chant d'Orphée sur le blog de Julien le Naufragé Volontaire :

 

"Au final, je pense avoir bien aimé ce livre contrairement à d'autres. Emporté par le style et l’histoire, je me suis laissé transporter par le mythe d’Orphée. Une découverte pour le « bienheureux innocent » que je suis (dixit Pierre-Paul Durastanti dans la préface) qui découvre aujourd’hui ce mythe grâce à Silverberg." 

On reparle d'Utopiales 12

Une nouvelle chronique pour l'anthologie Utopiales 2012, cette fois sur le blog de Xapur :

 

"J’ai apprécié une grande majorité des textes de cette anthologie, ce qui me console – un peu – de ne pas avoir participé aux Utopiales. Et découvert des auteurs intéressants dont je lirai avec plaisir d’autres textes." 

Opération Salon du livre de Paris

La 33e édition du Salon du livre de Paris aura lieu du 22 au 25 mars prochain.

Trois de nos auteurs seront présents sur place... Et si ce n'est pas votre cas, on a quand même pensé à vous !

Commandez leurs ouvrages jusqu'au 24 mars et on les fera dédicacer pour vous.

Sont concernés par l'opération :

 

Pour les autres, voici notre planning de dédicace.

On reparle de Cette Crédille qui nous ronge

On reparle de Cette Crédille qui nous ronge de Roland C. Wagner sur le blog d'Angua :

 

"Derrière ces aventures, plutôt qu'un message, c'est à une vraie réflexion sur ce que nous sommes et mangeons que nous voilà invités, le tout dans un style bien particulier, mêlant néologismes à la Burgess et bestiaire de Caza. C'est bon, c'est beau, et ce n'est pas touchant seulement parce que l'auteur nous a quittés trop vite."