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Une de plus pour les Ballons dirigeables !

Une nouvelle chronique pour le recueil de Karim Berrouka, Les Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? par A l'ombre des nénuphars sur son blog :

 

"Karim Berrouka nous ballote entre récits bouleversants, comme le très fort L’Histoire commence à Falloujah qui ouvre le recueil, et parodies déjantées. Tout y passe : on jubile à tordre les contes dans tous les sens, on bafoue les codes élémentaires de l’enquête policière, et on frémit à la danse des ombres d’un cirque particulier. (...) Le style est travaillé avec soin, comme le ferait un maître en ferronnerie d’art. (...) À recommander aux lecteurs qui apprécient suffisamment les contes, le polar, le fantastique, et la langue française et ses subtilités pour savoir en rire." 

Nouvel avis pour Les Ballons dirigeables...

On reparle des Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? de Karim Berrouka sur le blog de Vert :

 

"Les ballons dirigeables… est vraiment un chouette recueil qui donne un aperçu de toute la palette de l’artiste (pleine de coloris différents, du coup on peut le lire d'une traite sans impression de répétition -le point faible de certains recueils-).

A noter qu’en guise de conclusion, on a le droit à une interview complètement barrée où Karim Berrouka parle beaucoup pour ne rien dire (de vrai). Un véritable délice à lire, qui permet de conclure avec beaucoup d'humour ce très bon recueil !"

Flopée de chroniques sur les nouvelles numériques

Plusieurs de nos nouvelles ont séduit des lecteurs récemment :

 

Dup avec la nouvelle de Francis Berthelot, "LXIX" :

"Vraiment sympa comme lecture."

 

Doris Facciolo avec "L'Invention du hasard" de Norbert Merjagnan :

"Alors là, je n’avais pas vu cette fin arriver ! Je me demandais pourquoi avoir semé ça et là quelques éléments dont l’auteur ne semblait pas vraiment se servir pour l’intrigue principale. Or, dans une nouvelle, chaque élément a son importance vu la taille réduite du récit. Et puis, à la dernière page, tout se met en place en quelques paragraphes, laissant le lecteur pantois d’admiration devant tant de génie."

 

. Anudar avec "Celui qui venait du froid" de Jean-Michel Calvez :

"Il s'agit quoi qu'il en soit d'une belle lecture, appréciable à bien des niveaux, et que je recommande bien volontiers."

 

. Gromovar avec "Celles qui marchent dans l'ombre" de Jean-Philippe Jaworski :

"Superbe narration de la cavale, une vie durant, d’un meurtrier et de son complice, coupables d’un tel crime qu’ils furent pris en abomination par les dieux et les hommes, le texte de Jaworski enchante par la richesse de son vocabulaire, la beauté de ses images, une évocation si réaliste du maquis méditerranéen que le lecteur a l’impression de s’y trouver au côté du fugitif."

 

Gromovar, encore, pour "Truc" d'Anne Duguël

""Truc" est un texte drôle, enlevé, dans lequel Gudule fait montre de son talent bien connu pour la causticité et l’outrance sous contrôle. (...) Un texte sans surprise, mais drôle, malin, et très agréable à lire."

On parle de Trois Guerres pour Emma de François Darnaudet

Un avis pour le roman de François Darnaudet, Trois Guerres pour Emma, signé Oncle Paul sur son blog :

 

"Un roman certes, mais surtout la description d’un épisode mal connu et controversé que les livres d’histoire réduisent à peau de chagrin, ne retenant de la Commune que les atrocités commises, mais sans entrer dans les détails, pourquoi et par qui. (...) Un roman destiné à tous ceux qui s’intéressent à l’histoire et apprécient les grandes aventures romanesques." 

Interview autour de Chansons de la Terre mourante

Elbakin.net, partenaire de l'anthologie Chansons de la Terre mourante, a posé quelques questions à Jérôme Vincent sur ce projet qui nous tient à coeur.

 

Petit extrait :

 

As-tu des nouvelles favorites dans ce premier volume ?

Je suis un gros fan de celle de George R. R. Martin. Elle est drôle, bien pensée et tout à fait dans l’esprit de l’anthologie. On se retrouve dans une auberge un soir au bord d’un lac littéralement bondée de clients. Mais personne n’est vraiment ce qu’il montre. C’est remarquablement intelligent. Après j’aime beaucoup « Abrizonde » de Walter Jon Williams avec un étudiant qui se retrouve coincé dans un château assiégé… Il y a aussi celle de Byron Tetrickdans laquelle on retrouve l’immense Cugel ! Et puis elle a un goût particulier parce que Byron Tetrick est un ami de Jack Vance et que sa bibliographie est encore très courte.