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Deux chroniques pour Chansons de la Terre mourante

Deux nouvelles chroniques pour l'anthologie en hommage à Jack Vance, Chansons de la Terre mourante.

 

Celle de Ptite Trolle sur son blog :

"Ce que j'ai aimé dans cet univers, c'est l'exotisme permanent, avec de grands magiciens qui vivent dans leurs tours au milieu de leurs grimoires et de leurs potions, des démons et des esprits, des lieux grandioses et mystérieux, des artefacts magiques, mais aussi des sorts aux noms farfelus et à l'utilité parfois discutable, des quêtes insolites, et des personnages souvent étonnants. C'est aussi cet état d'esprit général, bien retranscrit dans certaines nouvelles, où l'on hésite entre le désespoir, la fatalité face à une Terre qui se meure, et la volonté de vivre sans penser au lendemain, et donc à rechercher tous les plaisirs de la vie, au détriment parfois de la morale ou du bon sens." 

 

Celle de Noé Gaillard sur le site Murmures :

"Mais j’avoue un grand faible pour les trois dernières nouvelles, peut-être aussi parce qu’elles ont le même traducteur, qui me semblent à la fois plus subtiles et tout aussi classiques - respectueuses et originales à la fois, comme la Silverberg. Les auteurs : Walter Jon Williams, G.R.R. Martin et Jeff Vandermer. Je ne vous les raconte pas. Sachez simplement qu’elles apportent l’indispensable touche de perversité qui donne beaucoup d’intérêt à la magie. L’apprenti architecte d’Abrizonde de W.J. Williams est insidieusement peut-être le pire en matière de fourberie..." 

Des chroniques de nouvelles numériques

Deux nouvelles chroniques de nouvelles numériques cette semaine.

 

La première avec "La Chose du Lac" de Laurence Suhner sur le blog de Doris Falcciolo

 

"L’atmosphère et l’écriture me font franchement penser à Arthur Conan Doyle et son célèbre Sherlock Holmes. L’époque et le langage n’y sont certainement pas étrangers. Les personnages sont distingués et possèdent un sens de la répartie qui m’a beaucoup plu. Bien que l’on devine assez vite où l’auteure veut nous emmener avec ces deux fils d’intrigues (le voleur, et la Chose), il n’y a qu’à la dernière page que l’on comprend ce qu’est vraiment cette Chose. Et là, j’avoue avoir eu un joli moment de surprise. Comme je les aime."

 

La seconde avec "Celles qui marchent dans l'ombre" de Jean-Philippe Jaworski sur le blog de La Mante

 

"(...) vraiment étonnante par sa narration son rythme et sa chute.(...) j'ai apprécié de relire des mots qui réveillent les sentiments glaçants et mortifères des auteurs de la Grèce antique mais aussi la chaleur du Mont Parnasse et la fraîcheur du Céphise."

On reparle de 69

On reparle de l'anthologie 69 avec Maêlle sur son blog :

 

"Globalement, il est indéniable que j’ai aimé. Ce fut une agréable découverte. (...) Dans tous les cas, j’ai trouvé que tous avaient fait preuve d’une grande imagination et d’une belle qualité d’écriture." 

Nouveautés numériques juillet

Quatre nouveaux titres paraîssent en ce début juillet en numérique, les derniers avant le retour en août !

 

L’Homéocratie fédère près de trois cents mondes et gère de nombreuses colonies.
 
Après la mort d’un haut fonctionnaire homéocrate sur Melig, protectorat colonial, Anthelm Lax est chargé de faire la lumière sur son assassinat et d’étouffer toute velléité indépendantiste. Pourtant, sur place, s’il découvre des dysfonctionnements, il ne détecte aucun signe de rébellion.
 
Pour rester sur Maricya, Natifa épouse Yoon, le dernier naturalisé en date du protectorat. À son contact, elle découvre que les Maricyans sont farouchement indépendants, d’une incroyable nonchalance, sans aucun attrait pour le pouvoir ni l’argent et indifférents aux exactions homéocrates. Leur inertie n’est pourtant pas si naïve qu’elle en a l’air.
 
Ayerdhal est l’un des grands auteurs de science fiction. Il a signé plusieurs chefs d’œuvres comme Demain une oasis, Chroniques d'un rêve enclavé ou Transparences. Avec La Troisième Lame et Pollinisation, il continue à explorer l’univers de l’Homéocratie dans lequel se déroulait La Bohême et l'Ivraie. Deux aventures dans lesquelles la science fiction interpelle le présent sur des questions aussi essentielles que la colonisation, le pouvoir et la recherche de la société idéale.
 

VIIIe siècle après Jésus-Christ : dans un Empire romain qui refuse de mourir, le culte de Mithra est devenu la religion dominante. Mais les anciens dieux ne se rendront pas sans combattre... Et Rome, en proie à la corruption et aux complots, cherche à retrouver sa splendeur passée. Entre Frédérique Braffort, grande prêtresse de Mithra, et sa cousine Judith, élève de la terrible magicienne Ygrene, la confrontation paraît inévitable. Magie, batailles contre les légions romaines, prophéties et interventions divines : au coeur d'une Antiquité réinventée, voici le premier volet d'un brillant diptyque chaleureusement salué par la critique française.

 

Quinze siècles après sa fondation l'Empire romain se meurt, livré à la peste et aux appétits d'une secte mithriaque redoutable. Fidèle à ses dieux, Judith de Braffort se dirige vers la capitale où les jeux du cirque barrent leur plein. Mais à l'ombre des catacombes, les forces du mal guettent déjà l'héroïne.
Avec une verve digne d'un David Gemmell, Rachel Tanner dresse le tableau saisissant d'un empire imaginaire où le christianisme n'a jamais trouvé sa place.
 
Années 2060. Suite aux bouleversements climatiques, le nord de la FedEuro (l'ex-Europe) est devenu une zone marécageuse, tandis que la sécheresse sévit au sud. 
Zayed et Lina, deux scientifiques français de très haut niveau, sont convoqués en urgence à Paris par le Centre de Contrôle Climatique (le 3C). Ils confient alors leur fils de treize ans, Reda, à son grand-père Siméon, qui gère des champs de capteurs solaires dans le désert de l'ancienne Aquitaine. Reda n'en mène pas large face à ce géant bourru aux allures de baroudeur qu'il n'a jamais connu et dont le passé n'est pas clair. 
Arrivés au 3C, Zayed et Lina apprennent qu'un cyclone d'une nature et d'une violence encore jamais vues vient de se former dans l'océan Atlantique, et qu'il se dirige vers les côtes de la FedEuro. Reda et son grand-père se trouvent en plein sur la trajectoire ! Lassée d'être maltraitée par la folie cupide des hommes, la Terre se révolte. 
Un roman palpitant emporté par la fureur des éléments, un cri d'alarme écologique et aussi une émouvante chronique familiale.

La Bibliothèque orbitale spécial Jack Vance

Dans ce numéro de la Bibliothèque orbitale en hommage à Jack Vance, Philippe Boulier revient sur deux titres d'Actusf : Les 5 Rubans d'or...

 

"C'est la manière dont Jack Vance se joue de la plupart des stéréotypes de ce genre de récit qui fait des 5 Rubans d'or une lecture extrêmement agréable. Alors oui certes on est dans le très mineur (...) n'empêche c'est fun, ça va vite et ça se lit d'une traite."

 

... et Chansons de la Terre mourante 1.

 

"Le résultat, s'il est inégal, est globalement très satisfaisant. (...) D'une manière général, les écrivains au sommaire de ce recueil parviennent remarquablement bien à pasticher le style de Jack Vance. Son sens du dialogue et son mélange unique de comédie et de tragique. (...) Donc oui, l'ombre bienveillante de Jack Vance plane sur l'ensemble des textes au sommaire des Chansons de la Terre mourante, même les plus anecdotiques. Ce qui suffit à en faire une lecture assez indispensable."

Nouvel avis pour le Guide steampunk

Une chronique pour le Guide steampunk d'Etienne Barillier et Arthur Morgan signée Jack sur son blog : 

 

"Les points forts : les interviews avec notamment celles de la trinité de Californie, j’ai nommé : K.W. Jeter, James Blaylock et Tim Powers (des potes à Philip K. Dick quand même !) à l’origine ce mouvement et surtout de sa dénomination. Le dépassement des frontières hexagonales pour citer des œuvres inédites dans le pays de Jules Vernes. Le rappel que dans steampunk, il y a punk avec tout ce que cela sous-entend." 

Encore une pour Les Ballons dirigeables...

Nouvelle chronique pour le recueil de Karim Berrouka, Les Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? par Noé Gaillard sur le site Murmures :

 

"Les nouvelles de ce recueil, inédites ou non, procurent à la lecture leur pesant de plaisir. Le seul “mais” que je me permettrais est celui de vous conseiller encore et toujours de ne pas les lire dans la foulée. Elles se dégustent, se savourent pour au moins une raison simple : elles relèvent toutes d’une écriture travaillée. On sent que l’auteur s’est fait doublement plaisir à les écrire."