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Nouveau recueil numérique : Tim Rey

Vient de paraître en numérique, un recueil de nouvelles SF signé Timothée Rey : Cosmos à moelle.

 

 

"Mesdames, mesneutres, messieurs & autres sexes, voici donc, en provenance de Bataflon, la Planète des Technomages, pour la première fois sur notre monde et après une faramineuse tournée galactique, l’Énorme, la Confondante, la Suffocante Féerie Visuelle, Sonore, Tactile & Parfumée de Cosmos à moelle de Tim Rey.
Au programme : le crime parfait, des écolières en pleine révolte, des sculptures d’air solide, une fête foraine galactique, un chagrin d’amour virant au cataclysme et des tanks E-T maquillés en lave-linge...
Et que demandons-nous, en échange de tout cela ? Ha ! Rien… ou quasi ! La malheureuse et hy-per-bo-li-que-ment modique somme de deux heurvies ! Que sont deux heures dans une vie, je vous le demande, deux minuscules heures, qui, avouons-le, filent à la vitesse d’un neutrino pris de frénésie panique, quand on les compare à l’ébouriffante multitude d’expériences que vous allez connaître, pour peu que vous vous donniez la peine de franchir ce portail ?
Le spectacle commence dans une minute ! Attention, attention ! Il n’y en aura pas pour tout le monde ! Ne laissez pas passer votre chance !"
 
Tim Rey est l'une des grandes révélations de ces dernières années. Son humour allié à la finesse de sa plume ont valu un joli succès critique à ses recueils, en attendant Les Souffles ne laissent pas de traces, un polar préhistorique savoureux aux éditions des Moutons électriques.
 
Contient une nouvelle inédite, "À moi, mon équipage ! À moi, mon beau navire !".
 
Retrouvez l'interview présente en fin de recueil sur le site d'Actusf.

Retrouvez l'interview de Fabien Clavel

Retrouvez l'interview de Fabien Clavel pour L'Evangile cannibale sur le site Actusf.

 

Extrait :

 

Depuis longtemps, je voulais mettre des vieux en scène. C’est peut-être à force d’écrire pour la jeunesse, je me suis rendu compte que les vieux sont les grands oubliés de la fiction de genre, à part pour faire le sage qui donne des conseils au héros. J’ai trouvé le biais que je cherchais en les rapprochant de la figure du zombie. Le vieux et le zombie sont finalement assez proches : le corps les lâche, ils sont sur la frontière qui sépare la mort de la vie. En plus, les imaginer en survivants alors qu’ils sont censés être trop vulnérables me plaisait.

Une autre chronique pour Chansons de la Terre mourante 2

Nouvelle chronique pour le 2e volume de l'anthologie Chansons de la Terre mourante, signée Gromovar sur son blog :

 

"Le meilleur texte est incontestablement celui de Lucius Shepard, intitulé La proclamation de Sylgarmo. On y suit un vieux guerrier, cousin de Cugel, poursuivre, jusqu’au bout du monde et presque des temps, son regrettable parent en compagnie d’une femme combattante prénommée Drew. Shepard développe ici un style riche et imagé qui se rapproche fort de celui de Vance. On y retrouve la gouaille de l’original, y compris dans les notes de pages qui sont à la fois cruelles et hilarantes. Sûrement, dans ce volume, le texte qui évoque le mieux l’original. Superbe." 

Nouvel avis sur Les Solitudes de l'ours blanc

On reparle des Solitudes de l'ours blanc de Thierry Di Rollo avec Louve sur son blog :

 

"(...) c'est le dénouement le plus étonnant qu'il m'ait été donné de lire sur un roman de ce genre. Les solitudes de l'ours blanc est une perle, une monstruosité littéraire qui (...) m'a littéralement transportée de par le style poétique et fluide de l'auteur et par le duo Jenny/Marc si différent et pourtant si proche. À lire !" 

Premier avis pour Le Marchand de réalités

Le premier avis sur le recueil de Simon Sanahujas, Le Marchand de réalités, est signé Laurent Kloetzer sur son blog :

 

"L'auteur est un connaisseur de Robert Howard et ça se voit, dans sa reprise de tics stylistiques howardiens et de références à la vie de l'homme de Cross Plains. En ce sens, Dark Valley est particulièrement plaisant à lire (...)." 

On reparle d'Utopiales 12

On reparle d'Utopiales 12 avec Mariejuliet sur son blog :

 

"[Sur "La Finale" de Nancy Kress] En un mot : génial ! Je crois que je suis en train de devenir une fan de cette auteure. L'idée centrale de la nouvelle est que les relations humaines sont des parasites, que se passe-t-il quand on veut en diminuer l'impact afin d'augmenter son efficacité? Un résultat étonnant. Une très bonne idée, très bien narrée." 

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