Connexion

Actualités

Nouvel avis pour Après la chute

 

Un nouvel avis pour Après la chute de Nancy Kress, signé Nicolas Soffray de la Yozone : 

 

"Beau, puissant, « Après la Chute » nous pousse à réfléchir sur l’avenir de la planète, mais surtout sur la nature humaine, et les excès dont elle est capable pour sa survie, à l’échelle du monde ou de l’individu." 

Revue de presse Dernières nouvelles de Majipoor

Premières chroniques pour Dernières nouvelles de Majipoor de Robert Silverberg :

 

  • SF Mag, été 2014 :

"De beaux récits qui brassent les thèmes de l’apprentissage, de la découverte, du pèlerinage, de la responsabilité, et au travers desquels on voit des pans de l’histoire de Majipoor se façonner à mesure que se construisent les personnages qui se choisissent une vie et une destinée, petite ou grande, anonyme ou légendaire. Après de longues années d’attente – 8 tomes en 33 ans, Silverberg ne fait pas de la fantasy au kilomètre – le charme opère une nouvelle fois, la luxuriance et l’exotisme de l’univers de Majipoor transparaissant dans chaque phrase ciselée par l’écrivain, servi par une traduction de belle facture. Conteur hors pair, le grand Bob n’a pas son pareil pour nous emmener très loin tout en nous faisant croire que nous sommes tout près de chez nous, tant il sait dépayser ses lecteurs sans jamais les égarer en chemin." 

 

"S’il enchantera certainement les amateurs du cycle, cet ouvrage est donc aussi une formidable porte d’entrée sur cet univers foisonnant tant que sur le talent de Robert Silverberg, qui passe de la grande à la petite Histoire et se plaît parfois à emmêler les deux. (...) La nouvelle est une forme d’autant plus appréciable quand elle vient alimenter un cycle qui se mesure en milliers de pages. Et ce magnifique volume, dense et varié, donne la pleine mesure du talent de Robert Silverberg, et la richesse de son univers." 

3 chroniques pour Après la chute

Les chroniques commencent à tomber pour Après la chute de Nancy Kress :

 

"Nancy Kress signe là un véritable roman de science-fiction, avec ce qu'on s'attend à y trouver. Mais, c'est bien plus que ça, parce que le message sous-jacent est on ne peut plus d'actualité, on ne peut plus fort, on ne peut plus concernant. Reste à savoir si nous sommes prêts à l'entendre." 

 

"Ce livre est un cadeau, doté d’une écriture fabuleuse pour un sujet si sensible, le apocalyptique." 

 

"Largement centré sur la question de la responsabilité de l’homme envers son futur, Après la Chute se pose de bonnes questions autour de la notion « Que livrer à nos enfants ? », et cela pas seulement dans le domaine de l’environnement mais aussi de l’éducation et des valeurs." 

Revue de presse estivale pour Stoner Road

Tout au long de l'été, de nombreuses chroniques sont tombées pour le roman de Julien Heylbroeck, Stoner Road.

 

"Il fallait bien que ça arrive, que la fusion nucléaire rock/ fiction soit tentée et c’est le petit alien, français en plus, “Stoner Road” de Julien Heylbroeck qui s’y colle. Malin et jeux de rôliste averti, l’auteur a choisi de camper son intrigue d’aventures initiatico-fantasy dans le désert, le desert rock étant, inutile de vous le rappeler, l’autre nom du stoner rock, le stoner rock étant lui, faut suivre, le fil rouge de cette machinerie, on est bien au cœur d’un dispositif construit autour du rock et en l'occurrence, rythmé par des chapitres aux titres empruntés au stoner rock et sonorisé par une BO détaillée. Orphée moderne et défoncé, le héros y cherche bien sûr son Eurydice, son Ofelia et court pour la retrouver dans les “generators parties”, ces fêtes ante-Coachella dans le désert californien où jouaient à l’œil dans les années 90 des groupes indie locaux comme Kyuss grâce à des générateurs, des bières et pas mal de drogues. Mêlant allègrement références mythologiques et péripéties gore, la culture stoner rock et la culture stoned tout court, saupoudré donc d’une bonne dose d’hallucinogènes, de champignons, d'ecstasy, le tout dans un décor cent pour cent américain parfaitement planté quoique peuplé de monstres dionysiaques, “Stoner Road” est le livre rock le plus dépaysant et original de la saison." Rock & Folk d'août 2014
 
 
"À la fois parcours du combattant sous acides, chemin de croix ponctué de riffs hypnotiques et quête initiatique à la mode « white trash », Stoner Road se trouve quelque part entre Sur la route de Kerouac, Cul-de-sac de Kennedy et la tétralogie « Bourbon Kid » du fameux Anonyme." Artikel Unbekannt dans La Tête en noire n° 169
 
 
"Une initiative maline, ancrant cette histoire un peu folle et sacrément prenante dans la nébuleuse de cette contre-culture hissant le cool au rang d’art. Résultat : Un mariage parfait entre un style littéraire et une musique partageant une valeur essentielle : celle ce ne pas se prendre au sérieux." Iro 22 sur le site Desert-Rock
 
 
"Comment dire. Whaou. La claque. (...) Tout ça pour dire que ce roman m’a emmené loin, dans des territoires connus et dans d’autres beaucoup moins, et qu’il me tarde de pouvoir y retourner." Sirius Vivas sur son blog
 
 
"La grande force de ce roman est la présence d'aucuns temps morts, l'écriture y est fluide et décontractée et je dois avouer qu'en tant que fan de Graham Masterton, j'ai eu l'impression de lire un de ces romans , tellement l'atmosphère fantastique y est bien entretenue, mais avec cette patte particulière de l'auteur" Jean-Luc Boutel sur son blog
 
 
"L’intrigue est prenante, menée à un rythme soutenu qui ne laisse pas le temps de s’ennuyer. On voit se dénouer les fils de l’intrigue. Les passages hallucinés par la prise de drogues sont époustouflants (à se demander ce que l’auteur a testé ou pas) et jettent un certain doute sur ce que l’on va découvrir ensuite ; réalité ou hallucination due aux substances? Le voyage se poursuite au rythme des moteurs vrombissant sur les routes gorgées de chaleur de ce sud américain rugueux et hostile. Et quand on arrive au grand final apocalyptique et gore, on se retrouve plongé dans un délire malsain." FredH sur son blog
 
 
"(...) on a donc un thriller fantastique avec un final en appelant à la mythologie Aztèque qu'un Graham Masterton n'aurait pas renié, même s'il porte aussi la touche et le style de son auteur (...)." Stegg de Psychovision
 
 
"(...) "Stoner Road" est un excellent divertissement et une play list portative." Joyeux Drille sur son blog
 
 
"En bref un récit qui sent la pisse, la bière et la sueur où l’on passe du rire à l’angoisse d’une page à l’autre à un rythme trépidant. Car en effet le livre se lit vite, très vite. J’ai été incapable de poser le livre avant de l’avoir fini. (...) Sans hésitation Stoner road est un livre sympathique qui se lit d’une traite comme une bière tiède durant un concert de métal. On ne criera pas au génie littéraire mais bien au bon goût d’un auteur qui ne se la raconte pas et nous offre une intrigue et une ambiance solide et palpable. Je le conseille donc sans hésiter." Dr. Dandy sur son blog
 
 
"En bref et pour conclure, Stoner Road s’est révélé être une expérience ludique, prenante et assez poilante. Série Z décomplexée, ce roman maîtrisé et très référencé plaira à tous les afficionados de roman trash, de Tarantino et autres artistes bien barrés ! Une petite pépite pour se faire plaisir sur la fin de l’été !" StepH sur son blog
 
 
"(...) Stoner Road est un chouette roman, qui colle à l’ambiance stoner comme un t-shirt de Kyuss colle à son porteur après deux heures de generator party dans le désert. C’est lourd, c’est hypnotique, ça balance les watts. Oui, la musique aussi." Alias sur son blog

Opération autour de la sortie d'Oap Täo

Ce n'est pas vraiment des précommandes vu que le livre est sorti la semaine dernière mais si vous ne l'avez pas encore acheté, nous vous proposons de recevoir La Saga d'Oap Täo de Jean-Marc Ligny dédicacé !

Pour cela, rien de plus simple : commandez-le avant le 3 septembre... et on s'occupe du reste !

 

De plus, si vous commandez en même temps Après la chute de Nancy Kress, notre autre nouveauté du mois d'août, on vous offre Survivants des arches stellaires de Jean-Marc Ligny, un recueil de nouvelles se déroulant dans l'univers des Chroniques des Nouveaux Mondes.

 

 

Au fil du temps dans Bifrost

Un joli papier de Jean-Pierre Lion dans le Bifrost n° 74

 

""Variantes douteuses" est le plus long et le meilleur texte du volume, un récit nourri de la passion de l'auteur pour les échecs, une histoire qui, avec "Assiégés", justifie le titre du recueil (et sans doute son achat). (...) La SF va bien sûr s'inviter dans le texte et (...) l'essentiel est bien dans les rapports entre les personnages. Dire que Martin est brillant relève du pur euphémisme. Bref, si ce recueil n'est pas le meilleur de George R. R. Martin, la plupart s'en satisferont largement." 

Sortie numérique : trois polars !

Trois nouvelles sorties numériques en ce jeudi, trois polar teintés de fantastique signés François Darnaudet.

 

 

Les membres bordelais de l'Agence HPL sont sur les dents : Tom Marois a disparu ! Parti à Venise en compagnie d'un ami, il n'a plus donné signe de vie. Or, sur l'île de Torcello, un mystérieux docteur Bissolatti semble réaliser des expériences extraordinaires. Des héros de la littérature populaire apparaissent et disparaissent sur les quais d'une Venise intemporelle... La lagune vénitienne se transforme en lagune des mensonges.

 

 

Au Château d'alcool, le film qui tue a encore frappé ! Mais, cette fois, les flics ont récupéré une vieille cassette VHS avec l'œuvre démoniaque. Pour visionner cette horreur cinématographique, il n'y a guère qu'un seul volontaire : Julien Gras, auteur de série Z, journaliste pigiste, smicard littéraire et père de la craquante Cuivre. Comme les bonnes nouvelles n'arrivent jamais seules, la bande au célèbre Le Mosque demande à Julien de travailler sur un scénario étrange où la fin doit être rédigée par un névrosé. Avec toutes ces sollicitations, ça va être la vie de château... d'alcool !

 

 

Un vieux cruciverbiste détenteur d'un terrible secret assassiné... Un étrange lord anglais se livrant à d'étranges expériences... Un impitoyable tueur albinos... Un orthoptiste se retrouvant agent involontaire du mystérieux Service de la Protection du Territoire... Et au centre de cette toile, une superbe lasérologue aux yeux vairons, qui détient peut-être le secret du regard qui tue...

Pluie de chroniques pour L'Evangile cannibale

Encore un belle fournée de chroniques pour L'Evangile cannibale de Fabien Clavel.

 

 

  • Manuel Beer dans Bifrost n° 74 :

"Roman bien plus fin qu'il n'y paraît, L’Évangile cannibale juxtapose avec à propos des zombies incarnant la décadence corporelle poussée à l'extrême et de vieux grabataires. L'auteur décrit dans sa première partie l'effrayant quotidien d'une maison de retraite et pointe du doigt la façon dont notre société gère la vieillesse et l'isolement des personnes âges. Plus loin, c'est la société de consommation qui en prend plein les dents. A quoi bon voler des écrans plats au cours d'une invasion zombie ? Bref, voici un petit OLNI à ne pas rater, un joli coup de cœur pour bien démarrer l'année." 

 

 

"Course-poursuite entre des vieux qui ont un pied dans la tombe et des créatures qui semblent en sortir, L’évangile cannibale est un roman glaçant, drôle et terrifiant, tout ça d’un coup! Au programme morts violentes, bâchage entre vieux, (mauvais) traitement des personnes âgées et mysticisme, L’évangile cannibale, s’il n’est pas à mettre entre toutes les mains, sera dévoré en un instant et trottera derrière vous pendant longtemps!" 

 

 

"En bref, nous avons une histoire totalement originale dans le domaine des invasions zombies, avec des personnes âgées dans le rôle des survivants, nous offrant ainsi de l’action différente de d’habitude, de nombreux retournements de situation, de la réflexion, de la folie et de l’humour, le tout écrit avec un très bon style et des personnages très bien travaillés bien que n’étant pas attachants. Un livre à ne pas manquer !"