Dernière fenêtre sur l'aurore de David Coulon continue son petit bonhomme de chemin et les lecteurs sont unanimes sur deux choses : l'ambiance, très noire, et les personnages, bien construits. La preuve :
"Du bon, du dur, du fort. Excellent roman mais il faut en avoir."
"Quelle noirceur, bon dieu, quelle histoire, quelle écriture aussi, la surprise a été totale. Construction littéraire parfaite, très belle écriture sans fard, bien rentre dedans, et une histoire à frémir, avec une fin déroutante. Commencé ce livre en seconde je l’ai fini comme si j’étais sur un circuit du bol d’or. On se laisse bercer par les premières pages pour finir dans le noir absolu tout au long du livre"
"[J]e retiens une chose de ce roman : les personnages. Ils sont assez bien construits, les fractures intérieures sont belles (je sais cela est étrange d’écrire cela, non ?), et l’accompagnement de l’effritement psychologique des personnages est très bien construite, et qui jumelée avec une violence latente font des personnages forts."
"C'est un roman oppressant et tranchant, certaines scènes sont à la limite de l'insoutenable"
Le 26 juin, Thierry Marignac était l'invité de l'émission de Frédéric Taddéï, Europe 1 Social Club, pour parler de la réédition de Fasciste. Si vous avez manqué son intervention, vous pouvez retrouver le podcast sur le site de la radio. Ca commence à partir de la 24e minute !
On reparle du Guide de l'uchronie de Bertrand Campeis et Karine Globled sur la Yozone, avec un papier de Nicolas Soffray :
"Karine Gobled et Bertrand Campeis proposent un excellent guide pour se retrouver dans un genre qui n’en est pas un."
François Angelier parle de Philip K. Dick, simulacres et illusions sur France Culture, dans l'émission Ce qui nous arrive demain. A réécouter sans modération.

Patrice Louinet étant en dédicace à Lyon le week-end prochain (à la librairie Trollune le vendredi 3 juillet et durant la Necronomi'Con les 4 et 5), nous vous offrons la possibilité de recevoir votre exemplaire du Guide Howard dédicacé ! Pour cela, rien de plus simple, il suffit de passer commande avant le 4 juillet inclus.

C'est en tout cas l'avis du Voyage du Phénix (son blog) sur La Saga d'Oap Täo de Jean-Marc Ligny :
"La saga d’Oap Täo est un incontournable du space opera français. Pour peu que vous aimiez l’aventure ou tout simplement les bonnes histoires, vous serez content."
La nouvelle "Je crois que chevalerie y sera" d'Anne Fakhouri, originellement parue dans l'anthologie Lancelot, est en lecture gratuite durant le mois de juin, à l'occasion de la Décade de l'imaginaire organisée par les éditions L'Atalante. Voici l'avis de Dionysos du Bibliocosme :
Sur la nouvelle "Je crois que chevalerie y sera" d'Anne Fakhouri : "[L]’auteur cultive, à mon humble avis, le sensible, pas ce que nous pouvons sentir et toucher, mais plutôt ce que nous pouvons sentir et ressentir. Et que ce soit du point de vue de l’enfant ou du point de vue de l’amour sous toutes ses formes, Anne Fakhouri le fait très bien."
Deux nouvelles chroniques sont tombées sur L'Héritière de Jeanne-A Debats :
"Jeanne-A Debats nous offre un bon roman d'Urban Fantasy dans lequel elle renouvelle le genre avec brio. L'auteure a su créer avec finesse un véritable univers fantastique à la française, n'hésitant pas à revisiter l'histoire de France et les coutumes des créatures surnaturelles avec humour. Plongé dans une intrigue fascinante, le lecteur ira de surprise en surprise face aux nombreux rebondissements."
"L'auteure a su créer un univers d'urban fantasy très original."
On reparle de Liavek de Megan Lindholm et Steven Brust dans la Yozone avec Nicolas Soffray :
"Je vous en dis volontairement peu sur le contenu de ces six histoires, pour vous en laisser la surprise, car le fond vaut la forme. Qui n’a jamais lu de fantasy peut s’y initier en douceur avec « Liavek », où la magie est l’élément central du récit mais son usage plutôt rare. (...) Et d’en revenir à la source de toute histoire : les relations entre les hommes, les passions, les frustrations..."
Velda a mis en ligne, sur son blog, une interview de Thierry Marignac ainsi que la chronique de Fasciste :
"Le texte va vite, l'histoire avance, et nous avec. Thierry Marignac écrit dense, rapide, précis, construit. Avec un style qui sait quand il faut faire brutal et quand on peut laisser entrevoir sa sensibilité, comme un morceau de peau dévoilé par un drap repoussé, il emmène son lecteur derrière lui, sans jamais se retourner pour vérifier qu'il est toujours là. Pas d'inquiétude, on est toujours là. Et on en redemande."
Et si vous êtes à Paris, ne manquez pas demain soir la dédicace à la librairie Contretemps !