Connexion

Collection Perles d'Épice
Épuisé Épuisé

Livre papier
978-2-917689-40-0
Parution : 1 janvier 2000

188 pages

Prix de vente : 12,00 €

Auteur de la préface : Pierre-Paul DURASTANTI
Traductrice : Florence DOLISI
Traducteur·trice : Jacqueline CALLIER
Illustrateur (couverture) : ZARIEL

Existe aussi en numérique.

Le dernier chant d'Orphée

On dit qu’il pouvait, par son chant, charmer les animaux et les arbres, sa voix fit chavirer les sirènes elles-mêmes. Mais son coeur appartenait à Eurydice, et lorsque la mort vint la lui ravir, Orphée se présenta aux portes des enfers, armé de sa seule lyre, afin de reprendre à Hadès l’âme de sa bien-aimée.

 
Robert Silverberg est l’un des derniers maîtres de la science-fiction américaine. Mais c’est dans la veine de Gilgamesh, Roi d’Ourouk que l’auteur des Monades Urbaines et du Cycle de Majipoor revient pour cette réécriture épique du mythe d’Orphée.
 
Un roman inédit qui est un véritable événement.

Sommaire

  • Robert le fataliste (Préface de Pierre-Paul Durastanti)
  • Le dernier chant d'Orphée
  • Interview de Robert Silverberg

Revue de presse :

 

Le dernier chant d'Orphée dans Rêves et cris. C'est à partir de 6'08 et en coup de coeur final à partir de 44'47.

 

La chronique de Hervé Lagoguey de SF Mag

 

"Roman fort agréable à lire, nous voici dans un ouvrage type Contes et légendes qui revient aux racines du mythe. (...) Comme le prévient le titre, c’est un chant avant tout. Celui d’une vie, celui d’un héros qui se pose la question de la foi, du divin et surtout du libre arbitre." Deborah du Daily Mars

 

"Le dernier chant d’Orphée est un petit bijou littéraire qui se lit avec passion et émotion. Un moment de lecture intelligent et touchant." Arwen sur Mythologica

 

"(...) Robert Silverberg a su trouver un style assez lyrique, poétique, aérien presque, pour nous retranscrire cette histoire. On entendrait presque la lyre d’Orphée derrière les mots." Ailayah du site Lire ou mourir

 

"Au final, je pense avoir bien aimé ce livre contrairement à d'autres. Emporté par le style et l’histoire, je me suis laissé transporter par le mythe d’Orphée. Une découverte pour le « bienheureux innocent » que je suis (dixit Pierre-Paul Durastanti dans la préface) qui découvre aujourd’hui ce mythe grâce à Silverberg." Julien le Naufragé Volontaire

 

"Une modernisation épique tant dans le style que dans l'action qui nous permet (honte à nous) de nous remémorer en une centaine de pages le destin tragique de cet amoureux solitaire." Bérenger sur le blog Polars addict

 

"Le grand Bob sort de son style habituel avec ce chant mythologique. Cela peut étonner. Il prouve néanmoins une fois de plus qu’il est un auteur cultivé, intelligent et roué. C’est l’essentiel." Gromovar sur son blog

 

"Je me suis régalé du début jusqu'à la fin avec cette réécriture du mythe, assez semblable dans sa manière, à celle de l'épopée de Gilgamesh (Gilgamesh, roi d'Ourouk)." Yossarian sur son blog

 

"On n’oubliera pas la préface introductrice à l’œuvre de Pierre-Paul Durastanti puis l’interview minutieuse de Eric Holstein à l’assaut de la montagne Silverberg et qui ne s’en laisse pas compter par un Shogun un peu enclin à refermer rapidement le dialogue. Un ouvrage à glisser entre deux tomes de fantasy de votre rejeton, histoire de l’instruire en le distrayant …" le blog de Soleil Vert

 

"Mais alors, puisque la novella de Silverberg se présente au final comme une légère réécriture du mythe, que reste-t-il en faveur de ce dernier chant d’Orphée ? Une plume agréable et poétique, tout d’abord, qui rend hommage au grand musicien légendaire que fut Orphée, et un rythme nostalgique, pour ne pas dire fataliste, qui accompagne notre héros alors que le poids de sa destinée ne cesse de s’exercer sur ses épaules. Si cette novella inédite de Silverberg n’est assurément pas une de ses œuvres les plus fracassantes, il faut tout de même lui reconnaître un réel plaisir de lecture, et une ambiance fantastique compatible avec cette fabuleuse mythologie grecque. Silverberg demeure un grand conteur, et sait encore jouer de sa plume. Alors pourquoi se priver de ce petit plaisir littéraire ?" Guillaume le Traqueur Stellaire