Karim Berrouka interviewé par la librairie Mollat.
Revue de presse :
Karim Berrouka était l'invité de France Culture pour La Méthode scientifique le vendredi 30 octobre 2020 franceculture
Les Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? :
- dans la revue Elegy
- dans l'émission Salle 101
- dans l'émission Rêves et cris à partir de 8'53.
- dans La Provence : "Foutraque, la plume de Karim Berrouka ? On lui préférera le terme d'extravagante."
"Voilà un recueil de nouvelles original et contrasté... (...) Mais le grand intérêt de lire des nouvelles, c'est le changement d'ambiance et le fait que dans un recueil il y a forcément des coups de coeur... Là c'est particulièrement réussi ! Ce recueil aurait pu être écrit par des auteurs différents tant les styles et les ambiances se succèdent...et ne se ressemblent pas !" Manou sur son blog
"Excellent recueil de nouvelles puisqu'on va du rire aux larmes, il y a du fantastique, il y a de la SF. C'est des textes vraiment ciselés. Et c'est vraiment à découvrir." Dans l'émission Livrés à domicile de la RTBF (à partir de 37'20)
"Karim Berrouka sait varier les styles avec bonheur et nous transporter dans des ambiances différentes d'une histoire à l'autre. Profitez de ce recueil de nouvelles pour apprécier toute la richesse de ce génial conteur ! J'adore !" Coup de coeur de la Fnac Mulhouse
"Les nouvelles sont donc variées et l'humour présent dans les textes comiques varient assez pour offrir de la diversité. Cette dernière est d'ailleurs comblée par les autres textes qui démontrent que Karim Berrouka a une plume variée, passant d'un style et d'un sujet à l'autre sans difficulté." Stegg de Psychovision
"Les nouvelles de ce recueil, inédites ou non, procurent à la lecture leur pesant de plaisir. Le seul “mais” que je me permettrais est celui de vous conseiller encore et toujours de ne pas les lire dans la foulée. Elles se dégustent, se savourent pour au moins une raison simple : elles relèvent toutes d’une écriture travaillée. On sent que l’auteur s’est fait doublement plaisir à les écrire." Noé Gaillard sur le site Murmures
"Karim Berrouka nous ballote entre récits bouleversants, comme le très fort L’Histoire commence à Falloujah qui ouvre le recueil, et parodies déjantées. Tout y passe : on jubile à tordre les contes dans tous les sens, on bafoue les codes élémentaires de l’enquête policière, et on frémit à la danse des ombres d’un cirque particulier. (...) Le style est travaillé avec soin, comme le ferait un maître en ferronnerie d’art. (...) À recommander aux lecteurs qui apprécient suffisamment les contes, le polar, le fantastique, et la langue française et ses subtilités pour savoir en rire." A l'ombre des nénuphars sur son blog
"Les ballons dirigeables… est vraiment un chouette recueil qui donne un aperçu de toute la palette de l’artiste (pleine de coloris différents, du coup on peut le lire d'une traite sans impression de répétition -le point faible de certains recueils-).
A noter qu’en guise de conclusion, on a le droit à une interview complètement barrée où Karim Berrouka parle beaucoup pour ne rien dire (de vrai). Un véritable délice à lire, qui permet de conclure avec beaucoup d'humour ce très bon recueil !" Vert sur son blog
"Karim Berrouka a vraiment une multitude de styles qu'il aime à nous faire partager. Par contre, quelle que soit sa manière d'écrire, on retrouve toujours l'exigence de l'écriture ; on n'a pas l'impression qu'il cède à la facilité, même lorsque le texte est plus léger ou humoristique. (...) Humour, histoire, conte, modernité, le recueil de Karim Berrouka est tout ça, et bien plus. Je ne peux que vous invitez à le découvrir." WongLi sur le site Les Chroniques de l'Imaginaire
"Mention spéciale à l’hilarante interview qui conclue ce recueil où il exerce la prouesse de ne répondre à aucune questions…" Jack sur son blog
"(...) l’impression d’ensemble reste originale et agréable." Henri Bademoude sur son blog
"Mais du coup, c'est finalement le nouvelliste que j'ai découvert ! Et au moment de parler de ce recueil, je m'aperçois que cette lecture a été bien particulière. (...) Tiens, parlons de Eclairage sur un mythe urbain : la Dame Blanche dans toute sa confondante réalité, (...) [n]ous voilà exactement dans la tonalité que j'aime (...). Des personnages caricaturaux, du n'importe quoi dans le dialogue, une pure madeleine en ce qui me concerne. Les autres textes m'ont beaucoup moins donné cette impression de retrouvailles (...). La bonne nouvelle, c'est que je les ai quand même appréciés." Angua sur son blog