L'étoffe dont sont tissés les vents Autour de la Horde du Contrevent d Alain Damasio

de Alain DAMASIO , Mélanie FIEVET , Antoine ST. ÉPONDYLE

// COMMANDEZ AVANT LE 28 OCTOBRE POUR LE RECEVOIR DÉDICACÉ Á L'OCCASION DES UTOPIALES 2022 //

Retour sur La Horde du contrevent ! L'étoffe dont sont tissés les vents vous propose de replonger dans le roman culte d'Alain Damasio avec deux textes introuvables de la Horde, Exhorde et Le conte du Ventemps, une nouvelle de Mélanie Fiévet lauréate du prix fanfiction de la Horde Folio SF 2015 et une analyse philosophique de l'oeuvre ! Ce livre a été imaginé et composé par Antoine St. Epondyle, l'auteur du blog Cosmo Orbüs et de Cyberpunk Reality paru en 2015.

Passionné de science-fiction, de technocritique et de jeux de rôle, il écrit principalement sur la dimension politique de l'imaginaire et le sous-genre cyberpunk. Au sommaire : - Exhorde d'Alain Damasio - Le conte du Ventemps d'Alain Damasio - Steppe Back de Mélanie Fievet - L'Etoffe dont sont tissés les vents d'Antoine St. Epondyle - Interviews : rencontres avec Isis Fahmy et Benoît Renaudin ; Rencontre avec Eric Henninot, Rencontre avec Camille Archambeaud - Index des adaptations et projets connexes à la Horde du Contrevent

Revues de presse

On en parle chez Weirdaholic.

"Etant une inconditionnelle d'Alain Damasio, et une grande admiratrice de la Horde du Contrevent, c'était un magnifique cadeau pour moi, et je m'y suis précipitée. Je n'ai pas été déçue. Pour les amoureux de la Horde du Contrevent, L'Etoffe dont sont tissés les vents est passionnant, un trésor." Bilos, sur Babelio

"Analyse littéraire, linguistique, analyse philosophique, métaphysique : à travers ces deux grands axes, l'auteur tente de démêler un tant soit peu cette toile savamment entremêlée du roman. Au lecteur qui avait le sentiment de ne rien avoir compris du tout, il offre quelques pistes. Et au lecteur – sans doute un peu orgueilleux – qui affirmait au contraire avoir absolument « tout » saisir, il invite subtilement à aller toujours plus loin, il démontre qu'il y a toujours quelque chose de nouveau à remarquer, à comprendre, à assimiler." Aryia sur Babelio