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69 - Anthologie SFQ

Collection Anthologies ActuSF
Épuisé Épuisé

Livre papier
978-2-917689-15-8
Parution : 29 octobre 2009

166 pages

Prix de vente : 10,10 €

Anthologiste : Charlotte VOLPER
Illustrateur·trice (couverture) : Diego TRIPODI
Auteur·trice de la préface : Jérôme LAVADOU

69 - Anthologie SFQ

Des êtres synthétiques soumis à nos désirs, de l’orgasme en capsule, la radiographie du plaisir. Nos futurs nous réservent des fantasmes inédits et mystérieux... Douze auteurs soulèvent le lourd rideau des tabous pour emprunter la voie des sens et mieux affoler les nôtres.

Anthologie sulfureuse, aux frontières de l’érotisme, de la science fiction et du fantastique, « 69 » réuni douze auteurs français de renom des littératures de l’Imaginaire.

Sommaire

  • Misvirginity de DAYLON
  • Eddy Merckx n'est jamais allé à Vérone de Stéphane BEAUVERGER
  • Saturnales de Maïa MAZAURETTE
  • Miroir de porcelaine de Mélanie FAZI
  • LXIX de Francis BERTHELOT
  • Toi, que j'ai bue en quatre fois de Sylvie LAINÉ
  • Louise ionisée de Norbert MERJAGNAN
  • Sabbat de GUDULE
  • Les Métamorphoses d'une martyre de Charlotte BOUSQUET
  • Vestiges de l'amour de Jean-Marc LIGNY
  • Descente de Virginie BÉTRUGER
  • Camélions de Joëlle WINTREBERT

Revue de presse :

 

"Globalement, il est indéniable que j’ai aimé. Ce fut une agréable découverte. (...) Dans tous les cas, j’ai trouvé que tous avaient fait preuve d’une grande imagination et d’une belle qualité d’écriture." Maêlle sur son blog

 

"Bilan personnel de l'expérience : beaucoup de bons textes (mes préférés venant de Berthelot, Fazi, Lainé, et Wintrebert, par ordre alphabétique notez bien, ce qui tend à prouver que le métier a souvent le dernier mot, ou que les goûts personnels du critique ne changent pas vite avec les années, vous en jugerez) ; pas mal de vraie SF ; des approches très variées : une anthologie à recommander, dans le très haut du panier pour ce genre d'exercice." L'article de Pascal J. Thomas dans KWS

 

"Toutes les variations possibles entre érotisme et imaginaire. Un recueil qui donne chaud, par des auteurs qui comptent en France aujourd’hui : Stéphane Beauverger, Maïa Mazaurette, Daylon, Mélanie Fazi, Francis Berthelot, Sylvie Lainé, Norbert Merjagnan, Gudule, Charlotte Bousquet, Jean-Marc Ligny, Virginie Bétruger, Joëlle Wintrebert." 69 cité dans les Coups de cœur 2010 du comité SF des bibliothèques de la Ville de Paris

 

"Le recueil vaut la peine d’être lu pour trois nouvelles, celles de Maïa Mazaurette, de Mélanie Fazi et de Joëlle Wintrebert. Tiens, trois femmes ! « Saturnales », de Mazaurette, renverse la situation. Dans un futur aseptisé où la nuit de noces ne peut se pratiquer que dans un environnement propice artificiel et avec l’aide de pilules, d’accessoires et de stimulateurs qui gomment les effluves et la sueur des ébats, le mari tout neuf demande à la toute neuve épouse de faire l’amour comme jadis, sans adjuvant. Surprise pour la suite… Avec « Miroir de porcelaine », Mélanie Fazi montre une fois de plus une écriture époustouflante autour du thème connu de l’amour d’un créateur pour sa création. Et Joëlle Wintrebert propose un « Camélions » remarquable sur des amours extraterrestres qui prouve qu’elle est sans aucun doute une de nos meilleures nouvellistes." Jean-Claude Vantroyen dans Le Soir

 

"Introduit par quelques vers de Baudelaire, la nouvelle de Charlotte Bousquet constitue une bonne surprise. Lorsque la peinture, le sexe et la mort s’entremêlent si intimement que seule la tragédie peut les en séparer, on obtient un joli tableau réussi du premier au dernier coup de pinceau. L’auteur d’Arachnae nous régale encore une fois." La Librairie Critic sur son blog

 

"SF et érotisme pour ce titre évocateur, 69 (ActuSF) dans lequel douze auteurs français, dont Jean-Marc Ligny, Joëlle Wintrebert ou Maïa Mazaurette, explorent les possibilités que le virtuel offre à notre exponentielle soif d’exploration sexuelle. Pas mal du tout." Magazine D-Side

 

 

"L’ensemble est de bonne tenue et le quintet Berthelot - Lainé - Merjagnan - Ligny - Wintrebert mérite l’investissement de 10 euros, ainsi que la très élégante couverture pop de Diego Tripodi." M. Canard sur son blog

 

"Une belle couverture, un sommaire alléchant, ce livre avait tout pour plaire. Et, même si j’ai préféré certains textes à d’autres, j’ai pris plaisir à lire chacune des nouvelles : toutes assez courtes et de style, d’atmosphère bien différents. (...) Et surtout, certaines nouvelles m’ont fait découvrir des auteurs dont je n’ai maintenant qu’une envie : lire les livres !" Papa Fredo sur son blog

 

"Pour conclure je dirais que si la sexualité manquait réellement en littérature de l’imaginaire cette anthologie contribue très largement à combler ce manque. On ne peut que se prendre à espérer que ce type d’anthologie ou de recueil fleurisse de loin en loin afin de pouvoir continuer à savourer avec plaisir ces douceurs de miel à l’érotisme savamment distillées…" Deuskin sur son site

 

"Une anthologie ludique et humoristique permettant d’explorer de nouvelles techniques qui pourraient émoustiller nos sens dans un futur on espère proche !" Rana Toad sur son blog

 

"Cette anthologie, coordonnée par Charlotte Volper et illustrée avec talent par Diego Tripodi, nous donne à voir le sexe sous toutes ses formes. Tantôt cru, tantôt érotique, hétéro ou homo, violent ou passionnel, il y en aura pour tous les goûts. (...) Au final, cette anthologie reste néanmoins d’un niveau très homogène ; à peu près tous les textes sont intéressants, et présentent des visions très différentes, qui résonneront ainsi de manière particulière pour chaque lecteur en fonction de ses goûts. Bagatelle, souffrance ou passion : à vous de choisir !" Bruno Para sur son Noosfere

 

"Au total, 69 réussit son pari, bien que l’érotisme dans la SF soit un univers toujours difficile à traiter sans être « trop » ou « pas assez », sans être en décalage avec les propres fantasmes du lecteur. Ces douze nouvelles ne permettent évidemment pas de faire le tour de ce thème si particulier, mais elles en offrent douze visions très différentes et toutes dignes d’être partagées." Pascal PATOZ sur Noosfere

 

"Mêler fantastique et érotisme : c’est possible ! Douze auteurs, dont Maïa Mazurette du blog Sexactu, ont relevé le défi dans la sulfureuse anthologie « 69 ». Drôles, poétiques, captivantes, ces nouvelles se suivent mais ne se ressemblent pas. Qu’elles parlent de sextoys, de cinéma futuriste, de passions dévorantes ou même de fantasmes : toutes ces histoires ont pour point commun d’évoquer la sexualité sous différentes facettes. Et le tout sans tabou ! A dévorer de toute urgence ! " Elle

 

"69 est une réussite. Les nouvelles sont de hautes volées, l’anthologie est cohérente et de belle tenue tant sur la forme (papier, police de caractère, maquette sobre mais très soignée) que sur le fond (jamais grossière ni outrancière). Le 7eme ciel n’est pas loin. Reste que le terme SF est à prendre au sens large car certains textes relèvent du fantastique. Quant à la nouvelle de Stéphane Beauverger aucune étiquette SFFF ne peut lui être apposée." Lhisbei sur son blog

 

"Au final, un recueil vraiment sympa, qui réussit le tour de maître de rester fidèle au genre de la Sf sans jamais basculer dans la pornographie, ce qui était loin d’être gagné avec une telle thématique et qui a en plus l’avantage non négligeable de m’avoir donné envie de découvrir d’autres écrits des auteurs mis à contribution." Angua sur son blog

 

"Après une mise en bouche qui donne envie de continuer, les plats se suivent et ne se ressemblent pas. Toutes les nouvelles sont appétissantes. Les auteurs ont su capter les aspects du mot « érotisme ». Je pourrais citer les douze, car elles valent toutes le coup." Hervé sur son blog

 

"Prix de la meilleure nouvelle pour moi : Joëlle Wintrebert, toutes catégories confondues. Elle est belle, cette nouvelle, et franchement érotique. Qui plus est, elle est toute la SF que j’aime et réussit en peu de pages à traiter trois grandes problématiques humaines sans se casser la margoulette sur l’un ou l’autre de ses thèmes. Un bijou. Pas si loin derrière, en ce qui me concerne : Mélanie Fazi, et là, c’est une bonne surprise pour moi. Je suis habituellement peu sensible à l’univers de l’adorable Mélanie, même si je ne peux que reconnaître son talent. Et cette fois, j’ai marché bel et bien. Un texte tout en subtilité, sur le fil du rasoir et de l’émotion, où la noirceur se teinte d’une infinie tendresse. Vraiment très bien. Une belle nouvelle de Stéphane Beauverger, aussi. C’est de la blanche, à vrai dire, mais les anthologistes ont eu raison de la placer là, et en introduction. Elle est parfaitement à sa place. Son ambiance est délicate, un poil surannée (elle reflète parfaitement l’année 69 qui lui sert de contexte). Vraiment joli, même si le thème, lui, ne l’est pas. Très impressionnée aussi par l’écriture de Daylon : il fait preuve ici d’une hardiesse et d’une modernité d’écriture qui promet beaucoup, beaucoup. Même si j’ai nettement moins été convaincue par le fond. Mais il est à suivre, sans conteste aucun. Bien rigolé aussi à la nouvelle de Maïa Mazaurette, dont la fin n’est pas piquée des hannetons et fait grincer des dents. Gudule aussi m’a fait rire ! Les autres sont plaisantes, et d’aucuns s’en régaleront sans doute. Et vraiment, cette couve de Diego, j’adore !!!" Hélène Ramdani-Solomonidis sur Facebook