Sommaire
- Les Solitudes de l'ours blanc
- Interview de Thierry Di Rollo
Collection
Les Trois Souhaits
Épuisé
Livre papier
978-2-917689-50-9
Parution :
6 juin 2013
212
pages
Illustrateur·trice (couverture) :
LASTH
Contrat...
Cible...
Élimination...
Lui est un tueur à gages. Il a commis une unique erreur, et celle-ci pourrait bien s’avérer fatale.
Elle est la fille de l’une de ses victimes. Elle ne vit désormais que pour assouvir sa vengeance.
Entre eux, s’esquisse un pas de deux mortel.
Du polar à la science-fiction, Thierry Di Rollo imprime sa marque : une écriture incisive au service d’univers sombres, fascinants.
Auteur des désormais classiques La Lumière des morts et La Profondeur des tombes, lauréat du Prix Elbakin.net 2011 avec Bankgreen, et après un passage en Série Noire avec Préparer l’enfer, il revient aux éditions ActuSF, avec Les Solitudes de l’ours blanc, son treizième ouvrage.
Revue de presse :
Interview de Thierry Di Rollo sur le blog d'Unwalkers
"(...) c'est le dénouement le plus étonnant qu'il m'ait été donné de lire sur un roman de ce genre. Les solitudes de l'ours blanc est une perle, une monstruosité littéraire qui (...) m'a littéralement transportée de par le style poétique et fluide de l'auteur et par le duo Jenny/Marc si différent et pourtant si proche. À lire !" Louve sur son blog
"Comme à son habitue, l'écriture de Thierry Di Rollo fait merveille. Sa faculté à traiter une information avec parcimonie, à en faire émerger le sens de manière progressive, impose le respect. Son style très visuel, pour ne pas dire cinématographique - on pense à David Fincher - impressionne par sa maîtrise et son naturel. Sur ce point, la narration à rebours du chapitre sept est un modèle du genre. Son art de l'ellipse, ni trop appuyé, ni relâché, se conjugue avec bonheur au pouvoir d'évocation de ses descriptions, conférant à ce court roman une densité émotionnelle fascinante. A l'instant de l'ours blanc, Thierry Di Rollo se sert du noir pour capter un peu de chaleur humaine. Une chaleur chiche, mais généreuse pour qui sait la mettre à profit. Bref, on ne saurait trop recommander la lecture de ce roman dont l'histoire vous suit longtemps, une fois la dernière page tournée." Laurent Leleu dans le Bifrost n° 72
"Toujours sinueux et sombre, "Les Solitudes de l'ours blanc" devient malgré tout lumineux en fin de parcours. Et son côté philosophique ravira les amoureux de la pensée.
Court et dense, ce polar noir est une expérience à tenter." Sur le blog Contre-critique
"Et pourtant il en tire une belle histoire, créant une empathie du lecteur aux personnages, il y a aussi une brume comme dans bankgreen, une brume qui se distille dans notre cerveau pour se demander, mais putain, attend qui est qui ? Rajouter à cela un travail de forme judicieux, des chapitres par perso, avec des intermèdes, qui brouillent les pistes. Parfait.
Auteur sous estime du moins je le pense, il frappe fort chez actu SF avec un roman rapide qui se délie, se replie tout au long du fil de la trame." Unwalkers sur son blog
"(...) voilà un très bon polar, très psychologique derrière son apparente simplicité formelle, très bien écrit, et qui jouera avec vos émotions, jusqu’à faire monter quelques larmes." Nicolas Soffray sur Yozone
"Les solitudes de l’ours blanc est un roman hanté par une absence beaucoup trop présente. Grâce à des intermèdes douloureux liant l’ensemble du récit de façon inextricable, Thierry Di Rollo tisse une toile aussi serrée qu’un nœud coulant autour du cou d’un condamné à mort. Alors, on se souvient que l’auteur a été publié dans la Série Noire. Et on comprend pourquoi." sur imajnere
"Les solitudes de l’ours blanc est un roman hanté par une absence beaucoup trop présente. Grâce à des intermèdes douloureux liant l’ensemble du récit de façon inextricable, Thierry Di Rollo tisse une toile aussi serrée qu’un nœud coulant autour du cou d’un condamné à mort." Léonox sur Collectif ZLLT